Collection Escortboy. Comment J’Ai Débuté ? Début De La Saison Iii. (7/9)

Escorte, Claude la femme qui m’a abordé dans le café où j’étais entré en attendant un rendez-vous d’embauche a fait de moi une escorte.
Je gagne énormément de fric en me servant de mon physique et de ma verge en passant des moments agréables avec des femmes, souvent âgées.
Claude a une fille avec laquelle elle gère son réseau d’escorte, féminine et masculine.
Si se servir de sa queue pour gagner des milliers d’euros est un métier, j’enfile ce costume même si pour cela il faut baiser des femmes d’un certain âge.
L’âge, je suis vacciné, dans mon village, notre voisine, une grosse femme lors de mes 18 ans m’a dépucelé.
Avoir baisé Berthe, ça vous ouvre les portes pour arriver à faire jouir toutes les femmes que Claude ou Lauriane vous demande de devenir votre cliente.
À mon âge très jeune, mes bourses se remettant de mes soirées rapidement et je suis capable de baiser hors de mon boulot.
Ça va être le cas dans quelques minutes quand je me sers une orangeade et que je m’installe sur le canapé de Reine, la rousse flamboyante que je croyais être une lesbienne avec Éléonore, sa patronne.
J’avais bien vu au geste de cette femme sur la fesse de cette rousse et par chance, quand je la serre dans son bureau, elle m’avoue, que mâle ou femelle elle est preneuse, c’est une bisexuelle.
En attendant, je m’interroge, à quoi joue Lauriane à m’avoir fait venir avec Sabrina la belle escorte mariée à cette présentation d’un nouveau parfum.
A oui, certainement à parader devant moi avec son boy-friend de 70 ans, qui plus est ventripotent.
Elle pense avoir marqué un point, en me montrant qu’elle a perdu sa virginité, mais même si Lauriane est magnifique, passer après un tel homme, c’est rabaisser la qualité des prestations que je fournis.
Je repense aussi à la manière dont j’ai été embauché, si faire l’escorte auprès de ces dames est une embauche, baiser avec la mère, puis après la fille, c’est une dérive que je suis loin d’admettre.


Prendre des enveloppes bourrées de pognons pour baiser des vieilles salopes où moins vieilles, mais tout aussi perverses, qui nous paye par manque de temps, passe encore.
Mais avoir une liaison entre la mère et après la fille, mon éducation est loin de l’admettre.

• Eh bien, on est assoupi, je sais, mon canapé est très confortable, c’est ce que me dit Éléonore chaque fois que je suis dans ses bras à regarder la télé.

J’émerge, il est vrai que cette petite Lauriane me bouffe le cerveau, il faut que je le reprenne, je risque de m’attacher contre ma volonté.
Surtout que Reine est devant moi avec sa couronne rousse sur la tête.
Je vais enfin découvrir la vérité sur les rousses.

• Je parie que tu te demandes sur ce que l’on dit sur les rousses est exact.
Si tu veux le savoir, suis-moi dans mon Jacuzzi, j’ai pour habitude de prendre un bain après une journée de travail.
Tu es chanceux, ma femme est absente et l’homme qui est arrivé quand je t’ai donné mes clefs m’a signé un contrat pour la fourniture de 10 000 flacons de « Nuit chaude ».
Je viens d’avoir ma patronne, elle est enchantée.
Ce contrat, c’est pour diffuser notre parfum sur toute l’Afrique.
Ce sera la plus grande quantité de femmes au monde qui auront la chance de se parfumer avec « Nuit chaude. »

Je suis à deux doigts d’éclater de rire.
10 000 femmes noires se frottant à leur mari ou amant qui sentiront ce parfum de tête et qui se feront baiser dans la foulée.
Reine est une bienfaitrice de l’humanité.
Même au fond de l’Afrique la mondialisation est en marche.

• Ces parfums seront vendus lors de safaris pour personnes riches.
C’est la réussite assurée pour Éléonore, son nom va faire le tour du monde.

Que disais-je sur la mondialisation ?
Une chanson me vient à l’esprit alors que nous entrons dans la salle de bains ou une baignoire genre Jacuzzi ou il est facile de tenir facilement à quatre.

Je parlais de chanson, « les ailes du papillon » battant à un bout du monde et qui change toute la planète.
« Nuit chaude » vendue à des femmes de couleur et qui parfum la femme américaine venue massacrer des tigres en Afrique.
Mais oui, je sais, les tigres, c’est en Amérique que l’on en trouve, en Afrique, ce sont des couguars.

• Qui m’aime me suit !

Avant d’avoir compris, jupe chemisier et sous-vêtements sont au sol, j’en fais de même.
Incroyable, sans qu’elle ait fait quoi que ce soit, le bain bouillonne.
Dommage, j’ai sa chute de rein en vision jusqu’à ce qu’elle entre dans l’eau.
Je devrais attendre pour voir sa chatte en espérant qu’elle sera à la hauteur de la réputation des rousses si elle a gardé sa toison.
En remplacement de sa chatte, j’ai la vision de ses cheveux tombant presque jusqu’à la raie de ses fesses lorsqu’elle enlève une broche dans ses cheveux et que son chignon se déroule.
Elle secoue sa tête de droit à gauche, ses longs cheveux battent de droit à gauche dans le plus belle effet grâce au soleil couchant entrant par la baie vitrée.
Je la rejoins, l’eau est parfaite.
Ma verge aussi, bien qu’elle soit au repos à ce moment.

• Tu dois te demander comment mon bain est près alors que tu dois te douter que je finisse à des heures différentes.
Regarde ce boitier, il y a plusieurs télécommandes dont une dans mon bureau.
Je l’ai déclenché il y a une demi-heure pour qu’il soit près quand j’arriverais.

L’eau est à bonne température, surement 26 à 28 °.
26, sur le tableau de commande, j’avais vu juste.

Elle s’est assise, comme une sirène, ses cheveux flottant autour d’elle.
Elle m’att par la queue et m’attire à elle.
Dans ce bain bouillonnant, j’ignore toujours comment est sa chatte, mais sa bouche est tout à fait accueillante à ma verge qui rapidement change de disposition.
Elle a une grande bouche et une gorge profonde dont elle me fait profiter.

Dans mon travail, j’évite les arrosages prématurés des amygdales de mes clientes, ce qui m’est arrivé une fois et par chance satisfait la vieille femme.
Cette femme âgée louait le monde moderne qui permet aux femmes de son âge de faire encore l’amour avec de jeunes hommes beau et fort comme moi simplement en allant sur des sites internet.
Du temps de leur jeunesse, sans « oui » prononcer devant le maire et le curé pour les croyants, la veuve poignée ou le grattage de clitos leur étaient permis.
Angel, c’était le nom qu’elle m’avait donné finissait sa vie en profitant de ma berge qui lui apportait tout ce qui lui avait été refusé avant.
Pour les éjaculations au fond de leur bouche, je préfère que ce soit elle qui me le demande.
Avant de rencontrer Claude, je cherchais à baiser.
Elle m’a appris à être au service de ces femmes frustrées tout au long de leur vie.
Même Lauriane aussi belle qu’elle soit, sera dans l’incapacité de m’empêcher de les pénétrer de mon sexe, moyennant de grosses enveloppes.

Je bande, Reine prend un flacon de gel savonnant et alors qu’elle en fait couler sur ses doigts commence à me caresser tous en me couvrant de mousse odorante.
Je la relève et à mon tour je la savonne.
J’insiste sur ses seins et surtout sur sa toison de vraie rousse que je peux enfin admirer.
Depuis combien de temps, une telle touffe m’a été refusée, même les personnes âgées se rasent autour de la chatte la totalité de leur pilosité.
Mesdames pensées aux hommes comme moi qui aiment vos poils.
Laissez-nous en un petit peu que l’on puisse les faire rouler sous notre langue.
Je reviens à ses seins, bien plus gros que ce que j’en avais pensé sous son chemisier.
Quand je débute, ses mamelons sont rentrés, comme inexistant, avec mon traitement, ce sont deux grosses fraises des bois, qui pointent vers moi.
Pour la première fois, nos bouches se trouvent.
J’ai lu un jour que dans le passé récent, une pute interdisait à ses clients de l’embrasser.

Ce privilège était réservé à son homme, très fréquemment son mac.
Le client avait accès à son sexe, mais pas aux lèvres de sa bouche.
Avec moi, comme la cliente dirige, je propose mes lèvres, si elles les veulent, c’est avec plaisir que je leur donne.
Le Jacuzzi a des sièges, je me laisse glisser pour être à la hauteur de cette chatte pour laquelle je suis venu et découvrir son mystère.
Elle écarte ses cuisses, reposant même un pied sur le siège voisin et après l’avoir aspergé d’eau pour enlever les traces de savon, ma langue seule la pénètre.
Faire jouir une femme avec sa langue, ça demande de la dextérité et j’en ai à revendre.

• Continue, je vais partir.

Je relève la tête, elle baisse la sienne, nos yeux se rencontrent.

• Il y a longtemps que tu es avec Éléonore.
• Avec Paulette, Éléonore Martial, c’est un produit markéting.
Son vrai nom, c’est Paulette, je suis avec elle depuis le début de cette aventure industrielle.
Paulette, « la reine des paupiettes, » tu vois le genre, dans la campagne de promotion.

Tout en me parlant, elle plonge sa main sous l’eau et empoigne ma verge, dur à m’en faire mal.
J’ai rarement eu des pannes et surtout jamais avec une cliente.
Le moment est si intense que j’ai hâte de l’emmancher, la saillir, la baiser et que les poils de mon sexe entrent en contact avec les poils de cette chatte rousse.

• Presque deux ans, j’ai été recruté pour être sa secrétaire.

Enfin, je suis en elle.
Enfin, ma verge est en elle.
Ma tête dans ses cheveux.
Cheveux qui me renvoient ce que je suis venue chercher, malgré le parfum d’Éléonore un peu trop présent dans l’appartement.
Comment dire, poivré, fort, les hommes qui ont eux de vraies rousses dans leurs bras savent ce que ces cheveux m’apportent comme odeur, comme senteur.
Quand je lui empoigne les flancs pour mieux la propulser sur ma verge, la réponse à ma question a largement le temps d’attendre...

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